Avenue du Centenaire, passe-vite, panorama sur Morlanwelz et Carnières Trieux, ruelle Balestin

Le long de la barrière du haras, on peut observer, à gauche, au-delà des toits des maisons de la chaussée Brunehault, le clocher de l’église Saint Martin de Morlanwelz ainsi que le toit de l’Institut Technique.
Au milieu des arbres du bois de Mariemont, on distingue une façade du Lycée Warocqué et le hall du nouveau complexe sportif qui jouxte le service des travaux de Morlanwelz. Au-dessus d’eux domine encore pour quelque temps ce qui reste du terril Sainte Henriette où étaient déversés jusqu’en 1960 environ, les résidus du triage central des différents puits de charbonnage de la Société de Mariemont.

A droite des maisons de la chaussée Brunehault se trouve Carnières dont on distingue la rue Remy et en contrebas la rue Vanrôme qui se déroule le long de la Haine : on voit ici très bien la vallée de cette rivière qui a donné son nom à la province du Hainaut.

Un peu plus à droite se trouve le hameau des Trieux de Carnières et son église Saint -Joseph.

Le long de la rue du Centenaire se trouvent à gauche les anciens bâtiments de l’entreprise Passe-Vite. Cette usine, construite en 1932, employa près d’une centaine d’’ouvriers et vit en particulier la fabrication d’une passoire ménagère originale, créée par le Carniérois Victor Simon, appelée le Passe-Vite. Cet ustensile qui fut dûment breveté est resté l’un des motifs de fierté du village de Carnières.

Nous allons emprunter à présent une ruelle appelée ruelle Balestin qui est le nom d’un de ses anciens habitants : ce nom est celui d’un mineur qui travaillait au charbonnage de Saint-Eloi à proximité duquel nous allons passer.