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Rencontre avec...

La visite de Dirk frimout le 21 juin 2003

Monsieur le Baron, Au nom du Conseil communal, je tiens à vous remercier de votre visite et d'avoir bien voulu consacrer quelques moments à Morlanwelz. Bien sûr, Mariemont c'est Morlanwelz mais votre passage à l'Hôtel de ville nous honore. Vous êtes devenu par votre aventure dans l'espace, le symbole de toute une génération tournée vers le futur. Le thème de votre conférence, "Le Hainaut vu du ciel", quelle magnifique expérience ; terre garnie de châssis à molettes, de très nombreuses cheminées d'usines. Morlanwelz était gâté par ces décors, qui signifiaient prospérité, mais aussi tristesse, grisou, ... Aujourd'hui, Morlanwelz, Cité d'enseignement, compte 18.500 habitants. Elle accueille 5000 étudiants par jour, de la maternelle à l'enseignement universitaire de type court. Plus de 100 groupements sportifs, culturels, un patrimoine éco-archéologique important. D'un côté, le parc de Mariemont, marqué par le passage de Charles-Quint, de l'autre Mont-Sainte-Aldegonde, marqué par le passage de Marnix de Sainte-Aldegonde, compagnon de Calvin Marnix de Sainte-Aldegonde, tint entre autre le siège d'Anvers face aux Espagnols. C'est tout cela Morlanwelz. Morlanwelz fut aussi marqué par la dynastie des Warocqué, les maîtres charbonniers, les grands investisseurs dans le domaine tant social qu'économique que le celui de l'enseignement. Aujourd'hui, nous aussi nous sommes tournés vers le futur, c'est pourquoi nous tenions à vous rencontrer. Nous vous en remercions. Jacques FAUCONNIER, Bourgmestre.

Le Conseil Consultatif du 3ème âge au Bois du Cazier

Le Conseil Consultatif du 3ème Age de l'Administration Communale : Présidence : Mr. PARIS Michel, rue du Moulin n°24 à 7141 Carnières - Tél. : 064/44.27.80 ; Secrétariat : Adm. Com. Mr. FRANCQ Fabrice, rue R. Warocqué n°2 à 7140 Morlanwelz - Tél. : 064/43.17.32 - Fax : 064/43.17.21 - e-mail : ZmFicmljZS5mcmFuY3FAbW9ybGFud2Vsei5iZQ== ; Installations : Administration communale et Maison de Repos Mariemont Village

Le conseil consultatif du 3ème âge et l'Euro

Le conseil consultatif du troisième âge avait invité à sa tribune Mme Francine Canivet, responsable à la Centrale des bilans à la Banque Nationale de Charleroi et spécialiste des problèmes de l'Euro, ainsi que l'inspecteur de police Colmant pour parler des différentes étapes du passage à l'Euro. C'est devant une salle comble que Monsieur Balleux, présentera les deux conférenciers. Madame Canivet a donné toutes les dates clefs du processus de conversion à la nouvelle monnaie européenne. Dès le 1er juillet 2001 les banques, les services publics (téléphone, gaz, eau, électricité) factureront les services en euros de même que les allocations sociales seront versées en euros. Au cours du mois de décembre les professionnels pourront se procurer des Eurosparterkits (réserve de monnaie d'une valeur de 240 Euros soit 9.682 frs). Les particuliers pourront également acheter un eurominikit en pièces de monnaie d'une valeur totale de 12,40 Euros ou 500frs. Les commerçants pourront également se procurer des billets. A partir du 1er janvier 2002 circuleront en double les francs et les euros. Il y aura huit pièces soit 1, 2 , 5, 10, 20, 50 cents et 1 et 2 euros. Sept billets seront en circulation soit 5, 10, 20, 50, 100, 200 et 500 euros. Le 1er mars 2002 le franc belge aura disparu totalement. La monnaie pourra être échangée jusqu'au 31 décembre 2002 dans les banques, postes et jusqu'au 31 décembre 2004 à la banque nationale. Quant aux billets ils pourront toujours être échangés à la Banque Nationale. Les distributeurs de billets fourniront uniquement des billets libellés en Euros à dater du 1er janvier 2002. Les chèques ne seront plus garantis à partir du 1er janvier 2002. Si vous libellez des chèques, n'oubliez pas d'indiquer la devise. Les versements sont de couleur orange pour les paiements en Euros. N'oubliez d'ajouter toujours 2 décimales (40 Euros = 40,00). Les cartes bancaires et proton seront adaptées. En ce qui concerne les timbres poste, ils ne sont plus échangeables et ils gardent leur valeur d'affranchissement qu'ils soient ou non munis d'une valeur faciale en FB, en FB et en Euro ou en Euro uniquement. Après ce brillant exposé appuyé par un montage de diapositives, le vice-président remercia les deux orateurs et attira encore une fois l'attention du public de ne pas se laisser arnaquer.

Le dernier Prix Nobel de littérature

Monsieur GAO XINGJIAN, publié par Emile LANSMAN, nous a fait l'honneur d'une visite le mardi 24 avril 2001. Il a été reçu par les autorités communales en l'Hôtel de ville.

Le Théâtre du Copion nous a proposé une pièce "Mais que fait donc la police ?"

L'histoire : Un couple, à l'heure du petit déjeuner, découvre l'actualité dans les colonnes d'un quotidien ... La lecture de la rubrique des "Faits divers" interpelle plus particulièrement l'épouse, l'angoisse même. Soudain, quelqu'un frappe à la porte ... Il ne peut s'agir que d'un agresseur. L'argument : Imaginé par le Théâtre du Copion en collaboration avec l'Académie Provinciale de Police E. Vaes, ce spectacle aborde avec humour et en toute franchise un phénomène d'insécurité. En trois tableaux courts et efficaces, la pièce parvient à démonter l'engrenage sécuritaire et ses excès. A la fin de la représentation, s'est tenu un débat sur le thème de l'insécurité et de ses conséquences. Monsieur Joncret, Commissaire de Police, était l'invité des organisateurs pour répondre aux nombreuses questions du public.

PRÉSENTATION DU LIVRE DE JACQUES FIÉRAIN : la B.D. en Hainaut...

Comment naît une passion ? Parfois par le plus grand des hasards. Jacques Fiérain se plaît à dire, à l'instar d'un personnage de B.D., que la bande dessinée, il est "tombé dedans quand il était petit". L'image n'est pas gratuite : quand il avait 5 ans, un jour de 1939, il reçoit de son grand-père paternel un album relié du Journal de Spirou, le numéro 3 pour être précis. Ne sachant pas encore lire, le jeune garçon s'efforce donc de comprendre le sens des histoires par le dessin seul. Quelque temps plus tard, il reçoit encore une brochure des Pieds Nickelés (ça devait être "Faut pas s'en faire"...). Et c'est ainsi qu'il apprend "à lire la bande dessinée" (Forton présentait encore ses histoires avec texte souscrit !) La passion était née et elle continuera pendant les années d'occupation, grâce à "Spirou" et "Bravo", sans oublier "Le Crabe aux pinces d'or" et "Le sceptre d'Ottokar", ni certains albums devenus extrêmement rares, comme les aventures de Jacquy et Marcou dans "Le secret du Mastaba". La guerre terminée, les abonnements au "Journal de Spirou" et au tout nouveau "journal de Tintin", ainsi que l'achat régulier du nouveau périodique "Héroïc-albums" entretiennent cette passion et l'enrichissent de tous ces nouveaux talents qui viennent d'éclore : Charlier, Cheneval, Cuvelier, Dineur, Follet, Franquin, Hubinon, Jacobs, Jije, Laudy, Martin, Morris, Sirius, Tillieux, Will, qui vont donner naissance aux deux écoles belges de Marcinelle (Dupuis autour de Jije) et de Bruxelles (Lombard autour d'Hergé). Devenu enseignant au début des années '60, Jacques Fiérain trouve là une matière propice à l'animation autour de la bande dessinée. D'autant que cette décennie est aussi celle qui voit l'accession de la B.D. au rang des moyens d'expression étudiés : c'est la naissance du "neuvième art" (mot vulgarisé par Morris dans sa chronique régulière du "Journal Spirou") et des ouvrages savants de Fresnault-Desruelles ou Roux, mais aussi celle de l'émancipation consécutive à la loi de juillet 1948 sur la protection de l'idéologie de la jeunesse, autrement dit l'arrivée sur le marché de "Pilote" et de la "Bande dessinée adulte" avec Druillet, Forest, Giraud, Goscinny, Gotlib, Wolinski entre autres. Vingt ans plus tard, le passionné de bandes dessinées infléchit sa carrière et devient bibliothécaire : occasion rêvée d'amener le grand public à la lecture de la B.D. ! D'autant qu'il assume, dans les cours de formation de bibliothécaire, la littérature de jeunesse et la bande dessinée. Matière qu'il réussira au bout de quinze ans, à faire entrer dans les programmes officiels des cours. Aujourd'hui encore, après une retraite dite "méritée", il assure les formations de recyclage organisées par le Centre de lecture Publique de la Communauté Française, et il y parle évidemment de la bande dessinée. La passion est devenue profession. C'est au début de cette retraite que lui est venue l'idée de dresser un recensement des auteurs de B.D. d'origine ou d'adoption hainuyère. Inventaire dressé sur le mode convivial après des entretiens avec ces auteurs ou certains de leurs descendants. Pourquoi le Hainaut ? Tout simplement parce qu'il est lui-même natif de La Louvière et qu'il est resté sentimentalement et professionnellement attaché à Sa province... Mais que les bédéphiles se rassurent : Jacques Fiérain a la ferme intention de poursuivre le travail entrepris ici. Les années qui vont suivre le verront mener ses investigations dans toute la Communauté Wallonie-Bruxelles... Et toujours en s'attachant aux mêmes principes : rencontrer les dessinateurs, scénaristes, coloristes, critiques, anciens ou débutants. Il s'est laissé dire que Bruxelles et le Brabant, Liège et Verviers, par exemple, n'avaient rien à envier au Hainaut ! ... Et il en profitera pour réparer certains oublis régionaux...

une centenaire à carnières

Madame Léa POTIAU, née le 10 juillet 1901 a été fêtée par la Direction de la Maison du Sacré Coeur de Carnières en présence des représentants de L'Administration communale. Les autres pensionnaires sont venus nombreux.

visite des enfants du centre regniers

Le mercredi 18 avril 2001 Les élèves du Centre Arthur Regniers de Bienne-lez-Happart en classe de 3e et 4e professionnelle sont venus à Morlanwelz. L'avant-midi, ce fut la visite de l'Administration communale et un exposé sur le fonctionnement de la commune par Monsieur Vassart, historien de formation et enseignant honoraire. L'après-midi, les jeunes reviennent après leur repas, dans la salle du Conseil afin de participer à un exposé sur le fonctionnement du Conseil communal des enfants présenté par Marco Fantinel (conseiller communal en 1997-98). Remarque : Un problème d'agenda n'a pas permis la tenue d'une séance. La séance débute à 14h30. Sont présents : Monsieur Moureau Christian, échevin de la Jeunesse Monsieur Hirsoux Pierre, conseiller du C.P.A.S. 2 enseignants du Centre Arthur Regniers Monsieur Fantinel Marco, ancien conseiller communal des enfants 4 jeunes du Centre à savoir : Mesdemoiselles Duterme Justine, Gabelica Anne-Françoise, Geurts Françoise, Van Bossuyt Françoise Monsieur Moureau donne la parole à Marco afin qu'il explique son mandat de jeune conseiller : Campagne électorale des candidats se proposant dans chaque 6e primaire de l'entité. Dans chaque classe de 6e primaire (tout réseau confondu : enseignement communal, provincial, libre) seront élus par les élèves de cette même classe - un conseiller communal enfant - un conseiller de l'aide des jeunes L'installation des jeunes conseillers se fixant des buts qu'ils souhaitent atteindre. Les séances du Conseil communal des enfants + une fois par mois, le mercredi après-midi - soit séance de travail dans la salle du Conseil - soit en déplacement avec visites diverses selon les desiderata des jeunes. Aux vacances de Pâques, c'est un an sur deux, le déplacement traditionnel au Parlement Européen, l'année suivante au Parlement Wallon à Namur avec la possibilité pour les conseillers de l'année précédente de faire le déplacement avec les nouveaux afin de participer aux 2 visites. Monsieur Moureau, Échevin de la Jeunesse, appuie les renseignements que Marco communique à nos jeunes hôtes. Notre échevin précisera que le Conseil communal des Enfants dispose d'un certain budget : dépenses pour visites, déplacements, collations,... et que les buts fixés en début de mandat peuvent prendre plusieurs mois même plusieurs années Les étudiants du Centre Regniers sont répartis enchantés de cette après-midi et nous ont confié qu'ils auraient aussi bien voulu être jeune conseiller.